Back dans les bacs (contact contact)

*nouvelle recette* lit-on sur certains produits alimentaires qui ont toujours le même goût, alors allons y, 2009, un nouveau style mec. Boum Boum bang bad boy

Salut les kids technophiles (maintenant un mec qui surfe le web, c'est un technophile. D'ailleurs je devrais pas dire surfer, plus personne ne dit ça si ? Je devrais dire un mec online, ou alors connecté)

Déjà, pardon d'avoir mis le blog en jachère pendant si longtemps, mais bon il existe des impératifs, -même pour moi hé oui- et je suis sûr que vous n'avez pas non plus checké le blog comme des porcs pendant le break de Noël.

J'ai profité de cette longue période d'inactivité bloguistique pour ébaucher, après le problème du voyageur de commerce, le corollaire du mec en vacances dans sa région d'origine : Quelque soit la durée de ton séjour, t'es toujours à court de temps pour faire tout ce que tu avais prévu. Et là je suis saoulé, sali sous le silence, seule issue la rue, même quand elle est dans ce sens.

A l'aube de l'an 2000(9), pour les jeunes c'est plus le même deal, on devrait voir fleurir qq nouveaux articles (celui sur heroes de valde, prévu pour le jour de la sortie de Duke Nukem Forever, peut être un de mumu sur la geekitude et on murmure la possibilité d'un article d'un nouveau collaborateur dont je tairai le nom mais verbaliserai le surnom: mimi)

J'enchaîne avec ma rentrée littéraire, des fois que vous n'ayez rien à lire ces jours-ci, car s'il y a bien un truc à faire chez les parents quand il n'y a qu'une seule télé pour un père et une frangine, et qu'un seul PC sans jeux, c'est lire. Heureusement que j'ai pu renouer avec mon émission fétiche : Un diner presque parfait chez les pétés de thunes qui se tailladeraient à la bouteille pour 1000€ et le titre de meilleur hôte. Avec Wasa.

Pour ceux qui ne lisent pas un bouquin sans de la fantasy dedans (vous cachez pas je le sais), ruez vous vers l'or de "Ronde de Nuit" de Terry pratchett, qui reprend les personnages du Guet de Nuit sur fond de voyage dans le temps. Du grand art à la Pratchett, sans doute un de ses meilleurs. On remercie le sponsoring de ma frangine grâce à qui j'ai pu poser les yeux sur ce bijou. En revanche on ne la remercie pas pour m'avoir imposé "Danse ta vie" à la télé qui raconte l'apparition du jazz, impulsé par les frustrés du classique avides de libération des moeurs.(et tac toutounette, vengeance) Ca m'a vraiment mis la fièvre, pendant des heures.

Dans la même veine, pour les amateurs de vaisseaux sanguins spatiaux, il y a le grand classique du "Guide du voyageur galactique" de Douglas Adams, que j'ai enfin pu finir. Et sa suite "Le dernier restaurant avant la fin du monde" que je m'apprète à attaquer.

Pour ceux qui aiment les livres de société, plongez avec délice sur "La sociologie du blaireau", ouvrage court qui dresse le portrait des archétypes de gens en utilisant les animaux. Dit comme ça ça fait bidon, vous pouvez vous bidonner. N'empèche c'est vraiment térrible, ça m'a beaucoup fait penser aux chroniques de Fioretto dans Fluide glacial pour ceux qui voient qui c'est. A propos de Fioretto, je vous recommande sous pli discret son livre de pastiches "Et si c'était niais" où il parodie jouissivement Marc Levy, Amélie Nothomb, Anna Gavalda, Christine Angot etc... Même quand on a pas lu l'original, c'est trop lol mdr.

Pour ceux qui ont envie de lire des belles histoire avec de l'amour cueilli à la main recette traditionnelle, laissez vous séduire par "Belange" de Patrick Cauvin, qui raconte la rencontre d'un propriétaire de manoir avec un squatteur, et "J'étais derrière toi" de Nicolas Fargues, qui relate une histoire banale somme toute mais avec un style parlé très authentique et réaliste, qui fait que le livre se dévore le temps d'arriver à Lyon. Attention à l'impact si tu n'es pas compact.

Sinon, j'ai hâte que "L'élégance du hérisson" sorte en poche, pour voir si c'est aussi bien que ce qu'on dit, mais ces relous de l'édition le gardent encore en grand format à 20€, shoote moi ça double R, avec plaisir je les shoote dans la tête même à terre . En plus dans le train, il y avait deux personnes qui le lisait et ma maman l'avait, mais j'allais pas lui flinguer un beau bouquin NRF (c'est pas N'a Rien à Foutre comme je le croyais, mais Nouvelle Revue Française apparament).

Allez sur ces -bons- conseils de lecture, je vous laisse, je vais retourner en cure de jeux vidéo, il y a des niveaux qui n'ont pas été one-crédité depuis bien longtemps, des boss à éclater, des chaînes de multiplicateurs à ne pas briser et un style d'esquive rapide et agile avec lequel renouer pour sortir pas trop ruiné de crédits virtuels. Sache qu'ici bas plus qu'ailleurs la survie est un combat à base de coup bas de coups de ton-ba, d'esquive et de Paw!, de putain de ston-ba.

Il est fort possible que l'écoute de NTM pendant l'écriture soit à l'origine de quelques phrases bizarres, je vous aide un peu c'est tiré des albums "Suprème NTM" et "Paris sous les bombes". Y a pas à dire ça motive les nèmténem. Et big up pour Kool Shen et double R